Le réveil du sable

Nalhyaah revenait de sa meditation quotidienne, une succession de stimuli visuels et auditives aupres du paléo-inquisiteur chargé de son dossier.

Au fit des jours, son sourrire et sa gaité laissait place à des sentiments refoulés. Les traits de son visages montrait alors une jeune femme au visage d'une douceur glaciale, pres de la mélancolie

Elle avait commencait à changer el jour où depuis son travail à l'atelier avait boulversé sa conduite.
Après une scéance de stimuli encore emouvante, elle était reconduite à l'atelier de fabrication, où elle s'assit à sa place sans une expression, l'esprit ailleurs.

Comme par reflexe, elle sortit son vieux pipeau qui ne l'avait jamais quitté, un objet de son passé, un flûte qui lui avait été offerte par son amant, un saltimbanque qui avait péri lors du nauffrage sur les côtes du Tumulte.

Elle posa son pipeau scuplté sur la table et le posa sur la table. Elle le fit rouler lentement, essayant de se rattaché à son existence passé, un raison de surmonter tout cela. Ces nuits, dejà courteset dérangées par de multiples songes qui venaient la questionner sans cesse fatiguant son esprit deja bien mis à l'épreuve par les scéances de stimuli.
Un regard au loin, presque détaché des bruits assourdissant des machines qui ressonnaient avec force dans la salle de travail. L'esprit ailleurs, sur un fil sans réponse, une série de question à l'hirizon, un équilibre fragile qui la maintenait au deçu de l'eau, evitant qu'elle ne se noit dans ces interminables refoulements du passé et du présent.

Elle sentit alors une main arracher son garde fou des doigts, Surprise, elle tourna la tête en direction de l'homme qui lui avait pris. Le visage mélancoliques et triste, regarda ssur la table là où le pipeau devait se trouver et redirigea ses yeux vers la main de l'homme, pour afin le regarder dans les yeux. Le visage du prisonnier, avec un sourrire sournois, comme s'il avait gagné un pari, proche de la victoire, jeta le pipeau dans une presse qui se trouva à proximité.
Nalhyaah eut le souffle coupé et tendit une main invisible comme pour rattraper sa protection qui alla se briser entre les 2 rouleaux de la presse. L'homme se mit à rire et les gardes non loin de là avaient le sourire.

La troubadour, se leva plus par horreur et se trouva en état de choc durant quelques instants pendant que l'homme lui riait de tous son souffle pour clamer sa victoire facile et sa délivrance.

le prisonnier
"- Je suis enfin libre, libre.... ah, ah ah, ah"
Il en pleurait de bonheur et de joie tout en montant ses bras aux cieux en signe de victoire
"- Je vais enfin pouvoir sortir de cet enfer,.. je...."

Il n'eut le temps de finir sa phrase qu'une main douce lui aggripa la nuque et le fit tomber en arrière. La tête heurta le sol. L'homme surpis à son tour ne compris pas ce qui se passait, il vit au dessus de lui, la belle troubadour le ragardait dans les yeux. Elle le foudroya du regard, montrant une expression de colére et de haine insoupconnée depuis lors.

Dans sa main, un pinson serrait dans une main crispée de colére. Nalhyaah depas une main sur le visage de l'homme à terre pour le maintenir au sol et frappa le torse à plusieurs reprise avec le pinson qui s'enfonça si facilement dans les chairs. C'est dans une vague de furie qu'elle continua à frapper sans cesse ce corps qui criait sa douleur.
Le sang giglait dans tous les sens, la dame du sable était de plus en plus recouverte de cette mixture imparfaite. Frénétiquement, elle placa des coups de plus en plus precis dans le foie, dans les poumons alors que l'homme agonissait, crachant de son sang sur le sol.
Elle ouvrit la cage toraxique de l'homme inerte et plnata le pinson dans ce coeur qui battait ses derniers instants.
Les prisonniers des alentour avent stoppé le travail pour voir avec effroie la scéne qui lmeur était offerte. Nalhyaah sortit le coeur de l'homme et se releva. Couverte de sang et de chair, elle regarda ce trophée un instant devant les prisonniers qui reculérent d'un pas. Elle jeta alors le tout dans la presse qui n'en fit qu'une gorgée de cette offrande.

Au loin, le paléo inquisiteur qui avait suivi l'integralité de la scéne, interpela le garde à promixité de lui

"- J'ai un message pour La très Sainte Omni-Tsarine, allez lui dire que tout c'est passé comme prévu" dit il avec un sourire

La troubadour en proie encore à sa fureur, se dirigea vers la sortie de la salle. Les travailleurs horrifiés, s'éloignérent d'elle, craignant pour leur vie. Sans un mot, le visage glaciale et mélancolique, elle sortit de la piéce se dirigeant couverte de sang vers ses appartements. Ces yeux gardaient encore cette expression de colère pure.